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L'amour impossible : être ou ne pas être?

Publié le 02/12/2017 à 17:26 par presse19 Tags : image vie monde amour mort soi sur voyage anime amoureux patrimoine article

L'amour impossible : être ou ne pas être?

 

L'amour impossible : être ou ne pas être?

Les relations amoureuses inaccessibles sont plus fréquentes qu’on ne le croit.

L’amour nous plonge dans le surréalisme, au point d’en occulter ses limites les plus dangereuses. Et plus il n’est pas complexifié, plus son accomplissement nous envoûte…

Doit-on, à l’image des amants de Vérone, s’abandonner au tumulte de ce voyage solaire quelqu’en soit le prix? Telle est la question.

Être ou ne pas être... Dans l’admiration

 

Qui n’a pas fantasmé sur une/un prof de lycée qui pimentait les débats d’ados en plein pic pubertaire… Ces pulsions frénétiques, majoritairement refoulées, nous hantent pour leur image hiérarchique. Même combat pour celui ou celle qui tombe amoureux du pilote de son avion, d’un tennisman à Roland Garros ou d’une présentatrice météo…

Ces clichés ne sont ni rares ni absurdes. Ils mettent en lumière un besoin réel de se rattacher à un socle, un repère qui rappelle souvent l’autorité parentale.

Est-ce réellement une question d’âge, d’uniforme, de statut ou de notoriété qui vous empêche de franchir le cap? La seule limite que vous imposez à votre amour, c’est vous-même. Mais il s’agit de savoir pourquoi vous désirez les choses. Si vous les désirez vraiment par le sentiment d’amour qui envahit votre âme.

 

Par exemple, nous ne cautionnerons que moyennement votre désir brûlant pour Julien Doré, parce qu’il est beau, qu’il chante trop bien, qu’il a du patrimoine en région PACA et que vous vous reconnaissez dans ses textes et interviews.

Quoique.

Être ou ne pas être… Individuel

 

 

Par contre il est crucial de ne pas perdre de vue l’essentiel: l’amour.

Cette émotion grandiose, emphasée d’abord, répond à la première règle du partage.

Vous comptez tout plaquer pour vivre l’interdit, reprocher au monde qu’il n’a rien compris, l’épistolaire garant de vos flammes. Plus que d’un avenir caché, vous aurez bien sur disserté avec votre impossible moitié sur la vraie valeur de vos sentiments respectifs…?

Dans certains cas, la force surhumaine de ce que l’on ressent, n’est pas à ce point partagée par l’autre. C’est déchirant mais il est nécessaire de l’admettre.

Aucune barrière n’est infranchissable si on est deux. Encore faut-il l’être.

 

 

Être ou ne pas être… Enfermé dans un schéma?

 

Vous êtes dingues l’un de l’autre, ok. On se fout du regard des gens, ok.

Rien d’autre ne compte, tellement, que vous avez dédié votre quotidien à cristalliser cet amour qui n’ira jamais au bout.

Est-ce vraiment vous? Vous vous reconnaissez dans ce personnage socialement barricadé? Êtes-vous décidé à interrompre votre existence telle que vous l’avez construite, tout cela pour l’autre?

Il faut être sûr de son coup, sûr que le jeu en vaille la chandelle (oui, d’accord, ce n’est pas un jeu). Prendre en considération à ce moment précis ce que l’on peut laisser derrière soi, ou carrément perdre, en s’engageant dans une romance des plus complexes, c’est accepter totalement votre rupture avec le quotidien.

Dans le cas contraire, il y a urgence: passez à autre chose.

il est grand temps de redéfinir vos priorités: qu’est-ce qui vous anime dans votre vie, et que vous ne pourriez pas abandonner?

Être ou ne pas être… Extrême

 

À travers les siècles, le romantisme nourrit ses best sellers de spectaculaire: aux fictions Baudelairiennes les sujets ne manquent pas. Dans chaque cas on illustre l’extrême d’un dénouement: le protagoniste, prenant la responsabilité de son amour ravageur, se donnera la mort, entraînant si possible avec lui un nuage de malheurs sur son entourage.

On peut aisément comprendre cette fascination pour le rôle de prince(sse) déchu(e).

S’imaginer l’égérie de son âme soeur inaccessible, entièrement jeté dans un amour qui triomphera dans l’au delà, c’est en quelque sorte romancer sa vie.

Une petite chose à prendre en compte si vous choisissez l’idéalisme: n’avez-vous pas plus à gagner de la raison? Parce que vivre, c’est quand même pas mal. Et puis, n’oubliez pas que d’autres comptent sur vous. Tout le monde autour, en fait.

“Mourir pour ses idées, d’accord, mais de mort lente”, disait Brassens.