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Date de création : 07.03.2014
Dernière mise à jour : 01.11.2025
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EHPAD

maltraitances invisibles des personnes âgées à domicile.

Publié le 16/04/2025 à 15:46 par presse19 Tags : sur base société histoire femmes annonce

Je vous transmets pour information l'objet ci-apres:

 

Le dernier communiqué du 10 avril du 3977 soulève le problème des maltraitances invisibles des personnes âgées à domicile.

une échelle des maltraitances élaborée par la ville de Paris.

La maltraitance change de visage : le domicile devient l'épicentre silencieux

Baisse des maltraitances en établissement : la vigilance doit se déplacer vers le domicile, nouveau cœur du risque. 

 

Depuis plus de trente ans, la Fédération 3977 agit en première ligne pour protéger les adultes vulnérables. Elle coordonne un réseau national de 51 Centres ALMA départementaux ainsi que la plateforme téléphonique 3977, véritables vigies citoyennes, indépendantes et éthiques qui écoutent, analysent et accompagnent les situations de maltraitance.

 

Chaque année, plus de 60 000 appels y sont traités, révélant l'ampleur et la complexité des situations vécues. Ces missions, aujourd'hui reconnues comme essentielles, s'inscrivent pleinement dans les orientations des pouvoirs publics : États généraux des maltraitances (2023), Stratégie nationale de lutte contre les maltraitances (2023-2027), et loi du 8 avril 2024 pour une société du bien vieillir.

 

Mais alors que le débat reste focalisé sur les établissements, les données de terrain racontent une tout autre histoire.

Alors que l'actualité médiatique et politique focalise son attention sur les établissements médico-sociaux, les chiffres 2024 de la Fédération 3977 contre les maltraitances bousculent les idées reçues :

 

Sur la base des 60 000 appels en 2024, il est révélé non seulement une forte baisse des situations de maltraitance en institution, mais aussi une progression préoccupante des faits au domicile, souvent invisibles, toujours complexes, parfois dévastateurs.

Une augmentation historique du nombre de dossiers.

En 2024, près de 13 000 dossiers ont été ouverts sur l'ensemble du territoire, soit une hausse de 42 % par rapport à 2022.

La plateforme nationale 3977 est à l'origine de 97 % de ces ouvertures.

Cette augmentation s'explique à la fois par une meilleure notoriété du numéro, une concentration des appels sur les horaires, et une montée en puissance des professionnels prescripteurs (professionnels de la santé, du social, ARS, conseils départementaux, etc.), qui représentent désormais 42 % des appelants, contre 31 % en 2022.

Sortir de la chasse aux sorcières : les établissements ne sont pas le problème central

Depuis le scandale Orpea, une véritable chasse aux sorcières a touché les établissements médico-sociaux.
Mais les données 2024 montrent une dynamique toute différente :

  • Les maltraitances en établissement sont passées de 41 % en 2022 à 27 % en 2024.
  • Les maltraitances médicales ont été divisées par deux,
  • La part des personnels d'établissement parmi les auteurs prévoit une baisse de 28 % à 14 %.

Cela s'explique en partie par une reprise en main salutaire des établissements : meilleure régulation, développement d'outils internes de signalisation, contrôles renforcés.

Ces efforts sont à vérifier, soutenir et accompagner, mais les établissements ne sont plus le problème majeur.

Le domicile : épicentre silencieux de la maltraitance

À l'inverse, le domicile devient le principal lieu des maltraitances signalées, avec :

  • 73 % des signalisations en 2024, contre 59 % en 2022.
  • Une majorité des auteurs présumés issus de la famille (48 %).
  • Une explosion des maltraitances psychologiques (31 %)

Les personnes âgées sont les principales victimes (71 %), et les femmes sont deux fois plus souvent concernées que les hommes.

 La tranche d'âge 46-60 ans (pour les personnes en situation de handicap) est celle où la progression des situations révélées est la plus forte, témoignant d'un phénomène intergénérationnel.

Typologie des maltraitances signalées en 2024

Sur 12 700 créations de dossiers, 63 % sont ouvertes pour maltraitances suspectées.

La part des maltraitances non physiques est massive (84 %), révélant la prégnance des violences insidieuses, diffuses et invisibles.

 

Ce que la Fédération 3977 va engager

Face à cette nouvelle cartographie du risque, la Fédération 3977 annonce une série d'engagements pour 2025 :

  • Renforcer les actions en direction du domicile, en outillant les réseaux d'aide à domicile, les proches aidants et les associations locales pour mieux repérer et traiter les maltraitances de l'intime.
  • Structurer une offre de services à destination des établissements, non dans une logique de dénonciation, mais pour soutenir les démarches existantes de bientraitance et faire entendre la parole des résidents, familles et professionnels.
  • Déployer une stratégie de formation territoriale, au service d'un repérage précoce, d'un traitement coordonné des alertes et d'une orientation claire vers les bons interlocuteurs.
  • Positionner la Fédération 3977 comme acteur national de confiance, niveaux de recours pour les victimes et les Centres Alma dont l'expertise terrain est un véritable levier opérationnel pour les structures locales.

Un appel à agir autrement

La maltraitance n'est plus là où on l'imagine.

Elle ne se limite pas aux scandales médiatisés, ni aux établissements devenus boucs émissaires.

Elle se niche dans l'intime, au cœur des foyers, dans les silences familiaux, les abandons affectifs, les dépendances invisibles.

C'est là que la bataille de la bientraitance doit désormais se jouer.

Elle exige des moyens, une stratégie nationale et une mobilisation sans relâche.

 

Brive résidences séniors

Publié le 01/02/2025 à 16:05 par presse19 Tags : center google sur vie france chez article photos centre internet cadre
De 1.000 à 3.500 euros par mois : pourquoi Brive est le nouvel Eldorado pour les opérateurs de résidences séniors 136 appartements avenue Turgot, 93 boulevard Grivel, 95 sur le site de Brune… L’offre de logements en direction des séniors autonomes va considérablement s’élargir dans les prochains mois à Brive. Que proposent ces résidences services et pour quels budgets ? Quel est leur modèle économique ? Plongée dans le "silver économie" qui fait de la cité gaillarde son nouvel Eldorado

Article réservé aux abonnés

Par Emilie Auffret, photos Stéphanie Para

Publié le 01 février 2025 à 10h53

 

© Stéphanie Para

Des cheveux gris, des lunettes et des sourires. Très grands, les sourires. Qu’ils s’appellent Domitys, Serenly, Edenis ou encore les Jardins d’Arcadie, ces opérateurs de résidences services pour séniors ou de résidences autonomie promettent tous la même chose : de la sécurité, de la convivialité dans un cadre de vie apaisant et apaisé. Les sites internet et les plaquettes sont soignés. Il va falloir convaincre, car ils ont tous jeté leur dévolu sur Brive où les résidences de ce type poussent comme des champignons.

Les Jardins d'Arcadie, opérateur historique

"La concurrence va stimuler tout le monde", relativise Laurence Lagarde qui dirige Les Jardins d’Arcadie, la première résidence qui a proposé ce concept dans la cité gaillarde. Elle est ouverte depuis 2013. En ce moment, les 87 appartements de la résidence située à deux pas du centre-ville sont occupés. Il y a même une liste d’attente pour la location d’un T2. Laurence Lagarde ne précisera pas sa longueur.

Mais Domitys, filiale du géant AG2R La Mondiale, a bien compris qu’à Brive, il y avait un marché à prendre. Pourquoi a-t-elle choisi la cité gaillarde pour construire sa 222e résidence en France ? "Il y a très peu de concurrence", répond Agnès Ricquebourg, référente commerciale Sud Ouest chez Domitys. À titre de comparaison, l’entreprise gère cinq résidences de ce type en Charente-Maritime. "Les villes moyennes ont du potentiel", estime-t-elle aussi. À Trélissac, près de Périgueux (Dordogne), Domitys a ouvert une résidence en juin 2024. "Elle était pleine en dix mois."

article https://www.lamontagne.fr/brive-la-gaillarde-19100/economie/plus-de-300-nouveaux-logements-bientot-disponibles-pourquoi-brive-est-le-nouvel-eldorado-pour-les-operateurs-de-residences-seniors_14635224/

 

fermeture de leur Ehpad juste avant Noël-Mercuès

Publié le 17/12/2024 à 17:23 par presse19 Tags : image vie article société noel
"Ils ont pleuré, très anxieux à l’idée de quitter leur résidence" : les personnes âgées apprennent la fermeture de leur Ehpad juste avant Noël
 
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Publié le 16/12/2024 à 12:02 , mis à jour le 17/12/2024 à 14:56

l'essentiel À Mercuès, il y avait jusqu’à 22 lits d’Ehpad occupés par des personnes âgées. Au 31 décembre, la structure ferme et les derniers occupants sont priés de libérer leur chambre. Averties il y a peu, les familles doivent trouver en urgence une solution.

EXTRAIT ARTICLE LA DEPECHE https://www.ladepeche.fr/2024/12/16/les-personnes-agees-apprennent-la-fermeture-de-leur-ehpad-juste-avant-noel-ils-ont-pleure-tres-anxieux-a-lidee-de-quitter-leur-residence-12395092.php

le prix des Ehpad en Corrèze

Publié le 11/12/2024 à 15:48 par presse19 Tags : prix sur center google photo article
Les plus chers, les moins chers... On fait le point sur le prix des Ehpad en Corrèze Si le coût moyen d'une chambre dans les maisons de retraite de la Corrèze reste en dessous de la moyenne nationale, les écarts de prix sont très importants entre le public et le privé. Décryptage en quelques chiffres.

Article réservé aux abonnés

Par Michaël Nicolas

Publié le 10 décembre 2024 à 19h30

En cette fin d'année 2024, le prix moyen s'élève à 2.407 euros par mois dans un Ehpad en Corrèze. Photo © Stéphanie Para

Avec un prix moyen de 2.407,57 euros par mois pour une chambre simple au tarif normal, les quarante-quatre Ehpad de la Corrèze restent de près de 260 euros en dessous de la moyenne nationale. Mais d’un établissement à l’autre, les écarts de prix peuvent être très importants.

Les plus chers, les moins chers... On fait le point sur le prix des Ehpad en Corrèze Si le coût moyen d'une chambre dans les maisons de retraite de la Corrèze reste en dessous de la moyenne nationale, les écarts de prix sont très importants entre le public et le privé. Décryptage en quelques chiffres.

 Des tarifs en hausse depuis 2018

Entre 2018 et 2024, le prix moyen d’une chambre simple est passé de 2.054,86 euros à 2.407,57 euros en Corrèze, soit une hausse de 17 %. C’est quatre points de plus qu’à l’échelle nationale, mais le département partait de tarifs moins élevés, de 300 euros en moyenne.

article la montagne https://www.lamontagne.fr/brive-la-gaillarde-19100/actualites/les-plus-chers-les-moins-chers-on-fait-le-point-sur-le-prix-des-ehpad-en-correze_14609447/

à Cahors, l’hôpital a mis......

Publié le 06/12/2024 à 17:38 par presse19 Tags : image vie france place article société centre
Abonnés
  •  
    Marie Bigorne et le Dr David Dombrowski. Marie Bigorne et le Dr David Dombrowski. DDM LaeB
Publié le 06/12/2024 à 13:37

l'essentiel C’est une première en France, pour éviter le passage aux urgences des patients très âgés, le centre hospitalier de Cahors a créé une unité mobile de gériatrie régulée par le Samu, au 15. Explications.

extrait article la depeche https://www.ladepeche.fr/2024/12/06/le-systeme-des-urgences-nest-pas-adapte-au-grand-age-et-peut-saverer-deletere-a-cahors-lhopital-a-mis-en-place-une-solution-inedite-en-france-12371567.php

90 ans, Yvette refuse d’aller en maison de retraite :

Publié le 05/12/2024 à 18:00 par presse19 Tags : image gratuit center vie france place chez article maison enfant pouvoir

À 90 ans, Yvette refuse d’aller en maison de retraite : comment une association lui a permis de rester chez elle

  •  
    imageimage.jpg?v=1" alt="Depuis l’antenne du DAC46 à Lacapelle-Marival, les coordinatrices Marlène Bousquet, Chloé Morales et Laura Pracht Brunet gèrent chacune une quarantaine de situations." /> Depuis l’antenne du DAC46 à Lacapelle-Marival, les coordinatrices Marlène Bousquet, Chloé Morales et Laura Pracht Brunet gèrent chacune une quarantaine de situations. DDM David Naulin
Publié le 03/12/2024 à 10:00 , mis à jour le 04/12/2024 à 09:16

l'essentiel Le Lot est le deuxième département le plus âgé de France.Un tiers de la population a plus de 65 ans. Pour les aînés qui souhaitent rester à domicile, l’association DAC46 coordonne un accompagnement individualisé. Yvette a pu en bénéficier.

Yvette, a 90 ans. Veuve et sans enfant, elle vit dans sa maison quercynoise dans un village du nord du département du Lot. " Elle a toujours manifesté la volonté de pouvoir vieillir chez elle, là où sont ses repères. Avec son Allocation Personnalisée à l’Autonomie, elle bénéficiait alors du passage d’une aide à domicile, trois fois par semaine, pour s’occuper de l’entretien de sa maison et faire ses courses", détaille Marlène Bousquet, coordinatrice du Dispositif d’appui à la coordination du Lot, qui suit son parcours.

La dégradation de la santé rend le quotidien difficile pour les aidants

Hélas, Yvette a présenté des troubles cognitifs. "Elle ne s’alimentait plus de manière adaptée. Le kinésithérapeute qui intervenait à domicile constatait aussi une rapide dégradation physique", rapportent les aidants qui ont aussi observé qu’elle ne réalisait plus ses soins d’hygiène et n’avait plus la capacité de gérer seule son administratif et son budget.

Chez elle, ses escaliers sont étroits, son logement est devenu inadapté. Elle ne sort plus, reste alitée la majeure partie de la journée et refuse désormais toute forme d’aides et de soins. Dans une forme de déni de la situation, la nonagénaire estimait être toujours autonome et avoir la capacité de tout gérer. Et Yvette a du caractère ! Il lui arrive parfois de mettre à la porte les professionnels. La voisine aidante, qui s’occupe des médicaments, est épuisée. Mais Yvette ne veut pas aller en EHPAD. Son projet de fin de vie, c’est rester chez elle !

 
Trouver des solutions aux cas les plus complexes de nos aînés

Sollicité par la coordinatrice de l’Espace Personne Âgée, c’est à ce moment qu’intervient le DAC46 (Dispositif d’Appui à la Coordination), un guichet unique et gratuit. Le dossier d’Yvette a été confié à l’une des coordinatrices de l’antenne du DAC46 à Lacapelle-Marival qui gère également des situations similaires pour des personnes isolées ou présentant des pathologies quel que soit leur âge.

« Nous avons commencé notre démarche en recueillant les attentes et besoins de son cercle de soin », explique Marlène Bousquet, coordinatrice. « Tous les intervenants ont été conviés à une réunion de concertation pour trouver des solutions assurant une prise en charge des soins apportés ». Les coordinatrices se sont rendues au domicile d’Yvette pour instaurer une relation de confiance et recueillir son projet. « Un plan personnalisé de coordination en santé a permis la mise en place et le suivi des actions, en lien avec les intervenants comme le médecin traitant » détaille Chloé Morales.

Depuis, le DAC46 a pu réévaluer l’Allocation pour qu’Yvette bénéficie d’une aide à domicile midi et soir tous les jours, notamment pour préparer les repas. Et une boîte à clé a été installée pour faciliter le passage des aides à domicile et libérer sa voisine aidante. Le DAC46 lui a aussi trouvé un nouveau médecin traitant. Et, une infirmière libérale assure désormais la prise des médicaments par la patiente. Une équipe mobile gériatrique a également pu être mobilisée.

"Les échanges permanents avec Yvette ont permis d’évoquer avec elle les limites de son maintien à domicile et d’anticiper l’aggravation de son état » précise Laura Pracht Brunet.

Au final, pour cette petite grand-mère, la démarche aura duré un an, le temps que tout se mette en place autour d’elle.

article https://www.ladepeche.fr/2024/12/03/a-90-ans-yvette-refuse-daller-en-maison-de-retraite-comment-une-association-lotoise-lui-a-permis-de-rester-chez-elle-12354766.php

"Un peu dur de soulever les cerceaux

Publié le 22/07/2024 à 15:05 par presse19 Tags : jeux article musique centre faure
Insolite "Un peu dur de soulever les cerceaux avec les rhumatismes" : à Brive, une résidence autonomie reprend la danse des Jeux olympiques Article réservé aux abonnés
"Un peu dur de soulever les cerceaux avec les rhumatismes" : à Brive, une résidence autonomie reprend la danse des Jeux olympiques
Atelier de danse des Jeux Olympiques à la résidence autonomie Chapeau Rouge © Stéphanie Para
Pour célébrer l’ouverture des Jeux Olympiques 2024, les seniors de la Résidence autonomie du Chapeau Rouge danseront la chorégraphie officielle, à Tujac, le 26 juillet.

La salle commune de la résidence Chapeau rouge s’anime en musique, une fois par semaine, grâce à Jeanine Faure, professeure de danse. Pleine d’énergie, cette ancienne danseuse de l’Opéra de Paris a lancé le projet de reprendre la danse officielle des Jeux Olympiques de Paris 2024 avec les personnes âgées de la structure, située en centre-ville.

article https://www.lamontagne.fr/brive-la-gaillarde-19100/loisirs/un-peu-dur-de-soulever-les-cerceaux-avec-les-rhumatismes-a-brive-une-residence-autonomie-reprend-la-danse-des-jeux-olympiques_14539442/

Plainte pour maltraitance au sein d’un Ehpad?

Publié le 07/06/2024 à 13:04 par presse19 Tags : image sur google femme maison centre article
Plainte pour maltraitance au sein d’un Ehpad de Pleuven : "C'est la stupeur générale"
 
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Illustration d'un soignant poussant le fauteuil roulant d'une personne âgée dans une maison de retraite. © E. Buoncristiani / MAXPPP

Trois aides-soignantes de l'Ehpad Ti ar C'hoad de Pleuven, dans le Pays de Fouesnant, ont été suspendues de leur fonction pour suspicion de maltraitance sur une résidente. Trois plaintes ont été déposées, par la famille et la direction de l'établissement.

Les faits datent de juillet 2023, mais ce n'est qu'en mars dernier que la direction de l'Ehpad Ti ar C'hoad de Pleuven, dans le Finistère, a découvert l'existence d'une vidéo plus que choquante. 

L'établissement, qui existe depuis 1995, compte près de quatre-vingt résidents, une cinquantaine de salariés, dont trois viennent donc d'être mis à pied.

"Je ne tomberai pas toute seule"

C'est une aide-soignante qui était en contrat déterminé dans cet établissement qui a tout révélé. La direction était en train de lui signifier le non-renouvellement de son contrat après la fin mars, quand, vexée, elle aurait déclaré : "Je ne tomberai pas toute seule" et de montrer à son encadrement une vidéo tournée quelques mois plus tôt.

"La vidéo a été filmée à 13h30,retracent nos confrères du Télégramme qui se sont entretenus avec la famille de la résidente concernée. On y voit une aide-soignante s’asseoir sur le fauteuil roulant de ma mère. Elle la prend ensuite dans ses bras, sur ses genoux. Après ça, une autre aide-soignante s’empare des poignées du fauteuil et le pousse à toute vitesse dans les couloirs. Ma mère pleure, crie… C’est évident qu’elle a peur."

Ce fichier vidéo, Roger Le Goff l'a vu et transmis à la justice. En tant que président du CIAS (centre inter-communal d'action sociale) du pays fouesnantais, il a tout de suite été averti. "C'est la stupeur générale,réagit-il sans vouloir commenter davantage ces images. "C'est douloureux, c'est dur à vivre parce que quand vous voyez ça, vous vous dites 'cette pauvre personne...' Mais qu'est-ce-qui leur ai passé par la tête !?..."

"Quand vous prenez ça en pleine tête"

Roger Le Goff est d'autant plus troublé que parmi les trois aides-soignantes concernées, figurent deux personnes en CDI, irréprochables à priori : "Ce sont deux personnes qui ont près de vingt ans de métier, qui ont toujours eu de bonnes notations, qui se portaient toujours volontaires..."Impossible de présager qu'elles étaient capables de tels actes." Il a dû se passer quelque chose... Un truc... La justice nous l'expliquera peut-être, mais quand vous prenez ça en pleine tête..."souffle Roger Le Goff.

Très vite, les trois personnes ont été suspendues par précaution pour suspicion de maltraitance. La personne en CDD, comme ses deux collègues en CDI ont ensuite été mises à pied à titre conservatoire.

Trois plaintes pour maltraitance ont été déposées à leur encontre : une par la directrice de l’Ehpad, une autre par Roger Le Goff, en tant que président du CIAS, une troisième par la famille.

La résidente concernée "va mieux"nous assure Roger Le Goff. "Elle est bien entourée et a été aidée." La femme âgée de près de 90 ans n'avait rien dit.

ARTICLE FR3 https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/plainte-pour-maltraitance-au-sein-d-un-ehpad-de-pleuven-c-est-la-stupeur-generale-2982689.html

Fin de vie : "Je me sens prêt à partir.

Publié le 31/05/2024 à 14:02 par presse19 Tags : image background prix sur gif center bonne vie moi france place monde soi voyage homme amis centre pouvoir article
Fin de vie : "Je me sens prêt à partir. La douleur n'est plus supportable. Et puis, je fais trop souffrir les autres"
 
Quelques heures avant de rentrer dans le coma, notre témoin se confie à notre équipe.
Quelques heures avant de rentrer dans le coma, notre témoin se confie à notre équipe. © FTV

Au mois de mars dernier, nous avons recontré un malade du cancer, âgé d'une cinquantaine d'années, alors qu'il s'apprêtait à entrer dans un coma dont il ne se réveillerait jamais. Témoignage.

"Est-ce qu'on est vraiment prêt un jour, je ne le sais pas. Mais oui, je me sens prêt. Aujourd'hui, même si le cerveau résiste, le corps ne tient plus, et la douleur n'est plus supportable. Et puis, je fais trop souffrir les autres. Alors je suis ici pour partir dans la sérénité".

L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années, qui se confiait à nous au mois de mars dernier nous avait accueillis dans sa chambre d'hôpital d'Ajaccio, au service des soins palliatifs.

Il était atteint d'un cancer généralisé, et dans quelques heures, il allait entrer dans un coma, sous sédation profonde et continue, qui le conduirait jusqu'à son décès.

Parcours du combattant

C'est au mois de juillet 2023, alors qu'il fait face à de très intenses douleurs, et à une aggravation de sa maladie, qu'il envisage pour la première fois la solution de la fin de vie. Mais la loi, en France, ne lui reconnaît pas ce droit, au vu de sa situation. "Pourtant, même si j'avais encore toute ma tête, je me considérais comme ne pouvant strictement plus rien faire..."

Alors, il envisage la Suisse, après avoir pris contact avec l'association Dignitas. "Et puis j'ai renoncé pour deux raisons : la première, c'est le prix, 9.000 euros, que j'estimais être une somme trop importante. Mais ce n'est pas le plus important. Ce qui m'a fait reculer, c'est qu'il fallait le faire soi-même. Je suis contre le suicide assisté. C'est très difficile, même quand on est prêt à partir, comme je le suis aujourd'hui. Je ne sais pas comment j'aurais réagi au moment de verser le produit qu'on doit boire pour en finir dans le verre prévu à cet effet..."

 

 
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Mais le quinquagénaire, qui a été durant quelques années en poste à Lille, se rappelle que la Belgique a également une législation plus souple que la France concernant l'aide à mourir. "Il faut être atteint d'une maladie incurable, et le délai nécessaire pour pouvoir en bénéficier est de six mois d'espérance de vie". Profitant des lignes directes entre Ajaccio et Charleroi, il se rend sur place, et obtient ce qu'il appelle son "sésame".

"Au mois d'octobre dernier, après avoir reçu ma compagne pour s'assurer qu'elle était également prête à faire face à mon choix, ils ont accepté, et on a convenu d'une date, fin avril-début mai 2024".

Rallonger le délai

Seulement voilà, en janvier dernier sa santé continue de se détériorer, et il est hospitalisé à domicile, avec une équipe de soins palliatifs sur place. Semaine après semaine, la situation est plus critique, jusqu'à ce que les docteurs ajacciens envisagent une sédation profonde. 

"J'ai appelé Charleroi, avec qui je m'étais engagé, mais ils m'ont dit qu'il valait mieux le faire en Corse, si la loi Leonetti le permettait, pour que je sois avec mes proches et mes amis. Et ils m'ont souhaité une bonne fin de vie".

Ce n'est pas un sujet qu'il faut traiter de manière philosophique. Il faut comprendre la souffrance du malade

 

Le jour où l'hôpital d'Ajaccio l'appelait pour lui annoncer qu'il pourrait bénéficier de la sédation profonde, Emmanuel Macron prenait la parole, et annonçait qu'il envisageait une évolution de la loi en France concernant l'aide à la fin de vie.

Et après le parcours du combattant qu'ont été ses démarches pour en bénéficier, il a bien sûr un avis sur la question : "Je ne pense pas qu'il faut changer la loi. Mais il faut vraiment fixer un délai pour décider de qui peut en bénéficier". 

La croix, et la tête de maure, pour l'accompagner dans sa démarche.
La croix, et la tête de maure, pour l'accompagner dans sa démarche. © FTV

L'ancien haut fonctionnaire rajuste son tee-shirt AC/DC et, après quelques secondes de silence, rajoute : "Il faut être pédagogue. Tout le monde dit que c'est très important, et il y a des débats sans fin dans les médias. Mais ce n'est pas un sujet qu'il faut traiter par la philosophie. Il faut être pragmatique, comprendre la souffrance du malade, et le remettre au centre de la décision".

Le quinquagénaire, qui a souhaité rester anonyme, jusqu'à la fin, semble apaisé. Ses traits sont détendus, comme si son corps, aussi, savait la délivrance proche. Quand on lui demande si ce choix qu'il a fait est en accord avec ses croyances, il assure que oui. 

"Depuis quelques jours, j'ai l'impression qu'il y a quelqu'un à côté de moi pour m'aider à faire mon dernier pas en paix. Je pars en voyage, et j'espère que ce sera quelque chose de fantastique". 

 

Ce vendredi soir, à 20h45, notre émission Sucetà vous propose un documentaire suivi d'un débat sur la question de la fin de vie, qui est examinée en ce moment à l'Assemblée nationale. 

 

Retrouvez le documentaire de 26 minutes de Marie-France Giugliani, Stéphane Lapera et Jean-Jérôme Delsol, consacré à la question de la fin de vie : 

ARTICLE FR3 https://france3-regions.francetvinfo.fr/corse/corse-du-sud/fin-de-vie-je-me-sens-pret-a-partir-la-douleur-n-est-plus-supportable-et-puis-je-fais-trop-souffrir-les-autres-2975366.html

Les Ehpad évalués par la HAS

Publié le 15/05/2024 à 15:04 par presse19 Tags : image sur article
Les Ehpad évalués par la HAS sur la qualité de leur prise en charge
Analyse

La Haute Autorité de santé (HAS) a dévoilé mardi 14 mai les premiers résultats de l’évaluation de la qualité de l’accompagnement dans les établissements sociaux et médico-sociaux, comme les Ehpad. Malgré des résultats « encourageants » dans les 3 028 structures évaluées sur 40 000, des progrès restent à faire.

  • Juliette Paquier,
  • le 14/05/2024 à 17:42
  •  

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article extrait la croix https://www.la-croix.com/sante/les-ehpad-evalues-par-la-has-sur-la-qualite-de-leur-prise-en-charge-20240514?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=NEWSLETTER__CRX_ESSENTIEL_SOIR_EDITO&utm_content=20240514