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Date de création : 07.03.2014
Dernière mise à jour : 01.11.2025
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Affaire de la Dépakine :

Publié le 05/01/2022 à 15:21 par presse19 Tags : image sur paris belle enfants article
Affaire de la Dépakine : Une victime de la Vienne réagit : "Il ne faut rien lâcher"
Publié le 05/01/2022 à 15h02 Mis à jour le 05/01/2022 à 15h18
Écrit par Marie-Noëlle Missud
image/zD8n56E80G9KagFrnThMxLZ5CsI/600x400/regions/2022/01/05/61d5a2802fc39_depakine.jpg" alt="La dépakine est accusée d'être à l'origine de nombreuses malformations sur les enfants dont les mamans ont pris ce médicament pendant leur grossesse." width="742" height="495" />
La dépakine est accusée d'être à l'origine de nombreuses malformations sur les enfants dont les mamans ont pris ce médicament pendant leur grossesse. © MAXXPPP-Nicolas Créach

Le tribunal judiciaire de Paris a estimé que Sanofi, grand groupe pharmaceutique français, avait commis une faute à propos de son obligation d'information sur le médicament la Dépakine, utilisé contre l'épilepsie. À Poitiers, l'une des familles de victime est plus que satisfaite.

Ce mercredi 5 janvier est une belle journée pour les familles des victimes du médicament la Dépakine. Le tribunal judiciaire de Paris a estimé que le groupe pharmaceutique Sanofi avait "commis une faute en manquant à son obligation de vigilance et à son obligation d'information", à propos des risques liés à ce médicament. 

Nathalie Laprie, une habitante de la Vienne, a appris la nouvelle par les médias et sa réaction est immédiate : "Cela veut dire que l'on ne se bat pas pour rie. Sanofi a beau se cacher et contourner sans arrêt la justice, cette fois un magistrat a bien compris le dossier.".

 

L'action de groupe jugée recevable

En parallèle de la reconnaissance de la faute de Sanofi, le tribunal juge aussi l'action de groupe lancée en 2017, "recevable". Cela signifie que toutes les victimes peuvent se faire connaître et se joindre à une action commune contre le géant pharmaceutique.

Cette deuxième partie ne concerne pas Nathalie. Avec son avocat, Me François Gaborit, elle a choisi de mener une action civile et pénale. Elle ne peut donc pas se joindre à l'action de groupe. " Cela va nous aider quand même", précise Me Gaborit. "La faute est reconnue, c'est un pas gigantesque dans la procédure. Le défaut de vigilance est acté".

Sanofi a immédiatement fait appel de ce jugement.  Mais pour toutes les victimes et l'association APESAC qui les porte leur voix, c'est un pas de plus sur le chemin d'un long combat judiciaire. "Il ne faut rien lâcher, même si beaucoup abandonnent parce que cela coûte cher, il faut s'accrocher ", conclue Nathalie.

ARTICLE FR3 https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/vienne/poitiers/affaire-de-la-depakine-il-ne-faut-rien-lacher-2402824.html